• Comptine tirée du refrain d'une romance voyageuse

     

    Petite bohémienne

     

     

    Petite bohémienne

    Je voyage beaucoup

    De Paris jusqu'à Vienne

    De Grenade à Moscou,

    Je rêve au clair de lune

    L'esprit toujours content,

    Et partout en chantant

    Je cherche la fortune.

     

     

    Comptine tirée du refrain d'une romance du début du XXe siècle.

    In, Les comptines de langue française, recueuillies et commentées par Jean Beaucomont, Franck Guibat, Tante Lucile (?), Roger Pinon et Philippe Soupault, Éditions Seghers, 1975.

     

    La petite Bohémienne, Auguste Renoir, 1879 (Collection privée)

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  • Commentaires

    15
    Fille de l'eau
    Lundi 14 Février 2011 à 18:48
    Aucune idée sur cette comptine.
    Nous ne connaissons presque jamais les auteurs de celles que l'on chante chez nous en manouche. On les chante parce que on les entend, parfois même on y rajoute des mots.
    Quant a remonter à leur origine...Elles se chantent et on s'en fout !

    Bonne soirée.
    14
    maud
    Mercredi 9 Février 2011 à 18:13
    Bonjour,
    ma grand mère chantait une chanson dont cette partie n'est que le refrain... j'aimerais bcp en savoir plus sur l'origine de cette comptine, et surtout si elle existe en version musicale et chantée. Si vous pourriez me renseigner, mon grand père et moi en serions ravis.
    D'avance merci de votre aide.
    13
    Caillie Profil de Caillie
    Mardi 18 Août 2009 à 22:39
    Oui mais voilà le poisson ne vole pas et l'oiseau ne peut vivre sous l'eau. Autant se résigner... à dire des poésies.
    Et puis, de toute façon, il n'y a que l'amour capable de déplacer des montagnes. Alors, c'est bien d'y croire coûte que coûte...
    12
    Tchaï von pani
    Jeudi 6 Août 2009 à 12:13
    Oui mais voilà le poisson ne vole pas et l'oiseau ne peut vivre sous l'eau. Autant se résigner... à dire des poésies.
    Et puis, de toute façon, il n'y a que l'amour capable de déplacer des montagnes. Alors, c'est bien d'y croire coûte que coûte...
    11
    Caillie
    Lundi 29 Octobre 2007 à 23:59
    Tes vers sont déchirants Zoli
    Et je m'en vais le coeur sombré

    Tchoum Denis
    Fils du vent ému j'ai aimé
    10
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:16
    gros tchoum a toi denis , c'est tous pour l'instant ...
    9
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:14
    les amants et la femme

    au pays de l'amour
    ne suis je qu'un trophée
    une héroine que l'on brandi
    pour seulement s'envelopper

    dans vos plus profondes ames
    je me perdrais pour toujours
    recherchant vos coeurs, pour les ranimer
    vous mes amours , mes désirs glacées

    mon corps se langui de vous
    o mes hommes venerées
    m'aurez vous assez adorée ?
    par de la vos coeurs , mon esprit lui se meurs

    ne sachant lesquels choisir
    et je me retrouve seule , perdue , et érante
    dans ce tourbillon d'amour charnel
    dans lesquels mes sens sont éveillaient

    a jamais dans vos yeux
    mon ame se fond
    et je ne suis plus qu'une femme
    réduit à néant


    et mon souffle lentement se retire
    dans un lent et douloureux soupir
    pour toujours etre prisonnière de vous
    je m'endors dans vos brad raidis


    vous m'aurez aimé autant que désiré
    pour seulement une nuit , un jour,
    et maintenent puni , je n'irai plus au paradis
    pour avoir succomber à vos doux talents

    pour échapper à vos mains
    a vos yeux m'ayant vu mille fois nu
    à vos soupirs dans les interminables étreintes
    et a vos sourirs , emprunts de désir

    à present je ne suis plus rien
    juste une femme soumise
    dans vos yeux éteint
    juste une ame souillée

    allongée je le suis , desormais
    toute ma vie , dans le sang étalé
    le long du pavé.
    je ne suis plus qu'une maitresse si gracieusement baissé

    vous m'avez tuer , età moitié nue je m'en vais , laissant vos coeurs sombrés
    8
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:12
    il arrive ...

    il arrive qu'un regard vous blesse
    une parole , un mot peut etre meme
    il arrive que la vie soit sans ame
    pourtant si belle mais si fade
    il arrive que la mort nous égard
    sans un bruit , mais pas sans larmes

    il arrive qu'un flot d'amour nous envahissent
    enhivrant , mais sans délices
    il arrive
    que les fleurs , nous enivrent
    délicate et pleine de surprise
    il arrive meme de rever de l'éternité
    ou d'un jardin qu'on aurait secret

    il arrive de se saouler , pourquoi ?
    sans doute pour oublier
    oublier que notre vie est pleine de malice
    mais que nos yeux obéissent
    à ses dictatures sans malices
    pour que le monde à jamais oublie son identité
    et ainsi sa véritable force de penser
    7
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:11
    recherche au fond de moi meme

    au plus profond de moi meme
    un secret est enfoui
    sources de toutes mes douleurs
    il ne peut etre découvert

    mon ame a son trésor , qui chaque jour m'anéantie
    dans ma peau , il se révèle
    partout ou , je vais je l'emporte
    je ne peux la quitter , cette plaie si désiré

    dans mon coeur , à chaque instant présent
    il es t un désir charnel
    si beau et , si irréelle
    qu'aucun homme ne peut comblé

    caché au fond de mon etre
    il coule dans mes veines
    comme une envie d'évasion
    une envie de briser mes chaines

    pour seulement me retouver
    un nseul instant rever
    cheveux au vent je m'en irais
    oubliant mon terrible passé

    sur ma bouche , une envie d'air
    que tous les baisées ne peuvent comblées
    seule le vent des pays éloignées
    pourrait me le volé

    et je ne peux le rejeter
    ce plaisir tant ésperé
    ce seule et grand amour
    que nulle ne pourra égalé

    a présent je peux crié ton nom
    pour qu'a jamais , je me sente liberé
    d'avoir eu tant de fois a pleuré
    pour simplement quelques fois t'effleuré


    je peus maintenent t'attrapé : ma liberté chérie !
    6
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:10
    en voici un autre

    corps d'automne

    tourne , tourne , la feuille
    danse et balance
    ton corps frèle , remplis de lumière
    amoureuse de la vie
    je revis

    ta liberté , m'emporte au paradis
    quand au vent , tu t'envoles
    je te suis et vois le ciel d'un ton nostalgique
    ce vent , ce souffle , ma vie

    pour me faire renaitre
    amène -moi avec toi
    dans cette danse , sans arret
    dansont et virevoltons

    et ainsi vient le soir
    toutes deux endormis
    dans nos reves d'amours bénis
    qui me rappel ma triste vie

    a present mon ame , ma feuille
    assagis , pour toujours endormis
    dans ces tristes ténèbres
    que seule un halo éclaire

    deux corps assombris
    par ce matin d'hiver
    ou rien ne bouge
    tous est gris
    5
    visiteur_zoli
    Lundi 29 Octobre 2007 à 22:08
    joli pensée , allez jte donne d'autre poème

    à un homme grand

    à l'aube je partirai , loin vers l'horizon
    mon ame , mon corps , mon esprit
    toute entière je m'offrirai
    à toi , le seul , l'unique

    à travres vallons et coteaux
    je partirai chercher le passé
    pour en vain te retrouver
    por moi , pour toi , pour nous

    pour ta vie si durement gagné
    elle est déja parti en charpit !
    et seule mes yeux reste pour pleurer
    sur toi , le seule , l'unique

    entre nous , un monde de merveille et de reve
    mais mon ame a jamis sera tienne
    un seul sourir me reste,
    le tien , le seul l'unique

    ma tete est rempli de souvenir
    que meme vent et marées nous pourrons effacer
    mais comment trouvé ce monde de beauté ?
    ou tu repose a tout jamais

    et dans ses quelques rimes
    pour seulement te dire
    pour toujours , dans une longue agonie
    une lente et éternel étreinte

    un mot de seulement deux rimes
    qui ressonerons encore demain
    un je t'aime , si fantastique
    pour toi , le seule , l'unique

    mon grand père chéri
    4
    Caillie
    Mercredi 24 Octobre 2007 à 21:30
    Chante la vie des fils et filles du vent dans tes poèmes, Zoli

    Que les cordes fredonnent
    Que les cris crépitent
    Que les paroles fusent

    Chante Zoli, chante !
    3
    visiteur_zoli
    Mercredi 17 Octobre 2007 à 22:06
    merci , tu veux en lire d'autre ? , 'tes pas obligée de dire oui
    2
    Caillie
    Lundi 15 Octobre 2007 à 22:54
    Un beau poème plein de tendresse et d'espoir, Zoli.

    Ecrire permet de mettre des mots sur ses douleurs comme autant de pansements sur les plaies.

    Grand Corps Malade dit " Si j'espère, j'existe"

    Gros tchoum à toi Zoli. Denis
    1
    visiteur_zoli
    Dimanche 14 Octobre 2007 à 22:43
    bjr , je te fait profiter de mes poèmes , tu peux me dire ce que tu en pense s'il te plai

    il arrive qu'un rgard vous blesse
    une parole , un mot peut etre meme
    il arrive que la vie soit sans ame
    pourtant si belle mais si fade
    il arrive que la mort nous égard
    sans un bruit , mais pas sans larmes

    il arrive qu'un flot d'amour nous envahissent
    enhivrant , mais sans délices
    il arrive
    que les fleurs , nous enivrent
    délicate et pleine de surprise
    il arrive meme de rever de l'éternité
    ou d'un jardin qu'on aurait secret

    il arrive de se saouler , pourquoi ?
    sans doute pour oublier
    oublier que notre vie est pleine de malice
    mais que nos yeux obéissent
    à ses dictatures sans malices
    pour que le monde à jamais oublie son identité
    et ainsi sa véritable force de penser
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