-
Comptine tirée du refrain d'une romance voyageuse
Petite bohémienne
Petite bohémienne
Je voyage beaucoup
De Paris jusqu'à Vienne
De Grenade à Moscou,
Je rêve au clair de lune
L'esprit toujours content,
Et partout en chantant
Je cherche la fortune.
Comptine tirée du refrain d'une romance du début du XXe siècle.
In, Les comptines de langue française, recueuillies et commentées par Jean Beaucomont, Franck Guibat, Tante Lucile (?), Roger Pinon et Philippe Soupault, Éditions Seghers, 1975.
La petite Bohémienne, Auguste Renoir, 1879 (Collection privée)
-
Commentaires
14maudMercredi 9 Février 2011 à 18:13Bonjour,
ma grand mère chantait une chanson dont cette partie n'est que le refrain... j'aimerais bcp en savoir plus sur l'origine de cette comptine, et surtout si elle existe en version musicale et chantée. Si vous pourriez me renseigner, mon grand père et moi en serions ravis.
D'avance merci de votre aide.Oui mais voilà le poisson ne vole pas et l'oiseau ne peut vivre sous l'eau. Autant se résigner... à dire des poésies.
Et puis, de toute façon, il n'y a que l'amour capable de déplacer des montagnes. Alors, c'est bien d'y croire coûte que coûte...12Tchaï von paniJeudi 6 Août 2009 à 12:13Oui mais voilà le poisson ne vole pas et l'oiseau ne peut vivre sous l'eau. Autant se résigner... à dire des poésies.
Et puis, de toute façon, il n'y a que l'amour capable de déplacer des montagnes. Alors, c'est bien d'y croire coûte que coûte...11CaillieLundi 29 Octobre 2007 à 23:59Tes vers sont déchirants Zoli
Et je m'en vais le coeur sombré
Tchoum Denis
Fils du vent ému j'ai aimé10visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:16gros tchoum a toi denis , c'est tous pour l'instant ...9visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:14les amants et la femme
au pays de l'amour
ne suis je qu'un trophée
une héroine que l'on brandi
pour seulement s'envelopper
dans vos plus profondes ames
je me perdrais pour toujours
recherchant vos coeurs, pour les ranimer
vous mes amours , mes désirs glacées
mon corps se langui de vous
o mes hommes venerées
m'aurez vous assez adorée ?
par de la vos coeurs , mon esprit lui se meurs
ne sachant lesquels choisir
et je me retrouve seule , perdue , et érante
dans ce tourbillon d'amour charnel
dans lesquels mes sens sont éveillaient
a jamais dans vos yeux
mon ame se fond
et je ne suis plus qu'une femme
réduit à néant
et mon souffle lentement se retire
dans un lent et douloureux soupir
pour toujours etre prisonnière de vous
je m'endors dans vos brad raidis
vous m'aurez aimé autant que désiré
pour seulement une nuit , un jour,
et maintenent puni , je n'irai plus au paradis
pour avoir succomber à vos doux talents
pour échapper à vos mains
a vos yeux m'ayant vu mille fois nu
à vos soupirs dans les interminables étreintes
et a vos sourirs , emprunts de désir
à present je ne suis plus rien
juste une femme soumise
dans vos yeux éteint
juste une ame souillée
allongée je le suis , desormais
toute ma vie , dans le sang étalé
le long du pavé.
je ne suis plus qu'une maitresse si gracieusement baissé
vous m'avez tuer , età moitié nue je m'en vais , laissant vos coeurs sombrés8visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:12il arrive ...
il arrive qu'un regard vous blesse
une parole , un mot peut etre meme
il arrive que la vie soit sans ame
pourtant si belle mais si fade
il arrive que la mort nous égard
sans un bruit , mais pas sans larmes
il arrive qu'un flot d'amour nous envahissent
enhivrant , mais sans délices
il arrive
que les fleurs , nous enivrent
délicate et pleine de surprise
il arrive meme de rever de l'éternité
ou d'un jardin qu'on aurait secret
il arrive de se saouler , pourquoi ?
sans doute pour oublier
oublier que notre vie est pleine de malice
mais que nos yeux obéissent
à ses dictatures sans malices
pour que le monde à jamais oublie son identité
et ainsi sa véritable force de penser7visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:11recherche au fond de moi meme
au plus profond de moi meme
un secret est enfoui
sources de toutes mes douleurs
il ne peut etre découvert
mon ame a son trésor , qui chaque jour m'anéantie
dans ma peau , il se révèle
partout ou , je vais je l'emporte
je ne peux la quitter , cette plaie si désiré
dans mon coeur , à chaque instant présent
il es t un désir charnel
si beau et , si irréelle
qu'aucun homme ne peut comblé
caché au fond de mon etre
il coule dans mes veines
comme une envie d'évasion
une envie de briser mes chaines
pour seulement me retouver
un nseul instant rever
cheveux au vent je m'en irais
oubliant mon terrible passé
sur ma bouche , une envie d'air
que tous les baisées ne peuvent comblées
seule le vent des pays éloignées
pourrait me le volé
et je ne peux le rejeter
ce plaisir tant ésperé
ce seule et grand amour
que nulle ne pourra égalé
a présent je peux crié ton nom
pour qu'a jamais , je me sente liberé
d'avoir eu tant de fois a pleuré
pour simplement quelques fois t'effleuré
je peus maintenent t'attrapé : ma liberté chérie !6visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:10en voici un autre
corps d'automne
tourne , tourne , la feuille
danse et balance
ton corps frèle , remplis de lumière
amoureuse de la vie
je revis
ta liberté , m'emporte au paradis
quand au vent , tu t'envoles
je te suis et vois le ciel d'un ton nostalgique
ce vent , ce souffle , ma vie
pour me faire renaitre
amène -moi avec toi
dans cette danse , sans arret
dansont et virevoltons
et ainsi vient le soir
toutes deux endormis
dans nos reves d'amours bénis
qui me rappel ma triste vie
a present mon ame , ma feuille
assagis , pour toujours endormis
dans ces tristes ténèbres
que seule un halo éclaire
deux corps assombris
par ce matin d'hiver
ou rien ne bouge
tous est gris5visiteur_zoliLundi 29 Octobre 2007 à 22:08joli pensée , allez jte donne d'autre poème
à un homme grand
à l'aube je partirai , loin vers l'horizon
mon ame , mon corps , mon esprit
toute entière je m'offrirai
à toi , le seul , l'unique
à travres vallons et coteaux
je partirai chercher le passé
pour en vain te retrouver
por moi , pour toi , pour nous
pour ta vie si durement gagné
elle est déja parti en charpit !
et seule mes yeux reste pour pleurer
sur toi , le seule , l'unique
entre nous , un monde de merveille et de reve
mais mon ame a jamis sera tienne
un seul sourir me reste,
le tien , le seul l'unique
ma tete est rempli de souvenir
que meme vent et marées nous pourrons effacer
mais comment trouvé ce monde de beauté ?
ou tu repose a tout jamais
et dans ses quelques rimes
pour seulement te dire
pour toujours , dans une longue agonie
une lente et éternel étreinte
un mot de seulement deux rimes
qui ressonerons encore demain
un je t'aime , si fantastique
pour toi , le seule , l'unique
mon grand père chéri4CaillieMercredi 24 Octobre 2007 à 21:30Chante la vie des fils et filles du vent dans tes poèmes, Zoli
Que les cordes fredonnent
Que les cris crépitent
Que les paroles fusent
Chante Zoli, chante !3visiteur_zoliMercredi 17 Octobre 2007 à 22:06merci , tu veux en lire d'autre ? , 'tes pas obligée de dire oui2CaillieLundi 15 Octobre 2007 à 22:54Un beau poème plein de tendresse et d'espoir, Zoli.
Ecrire permet de mettre des mots sur ses douleurs comme autant de pansements sur les plaies.
Grand Corps Malade dit " Si j'espère, j'existe"
Gros tchoum à toi Zoli. Denis1visiteur_zoliDimanche 14 Octobre 2007 à 22:43bjr , je te fait profiter de mes poèmes , tu peux me dire ce que tu en pense s'il te plai
il arrive qu'un rgard vous blesse
une parole , un mot peut etre meme
il arrive que la vie soit sans ame
pourtant si belle mais si fade
il arrive que la mort nous égard
sans un bruit , mais pas sans larmes
il arrive qu'un flot d'amour nous envahissent
enhivrant , mais sans délices
il arrive
que les fleurs , nous enivrent
délicate et pleine de surprise
il arrive meme de rever de l'éternité
ou d'un jardin qu'on aurait secret
il arrive de se saouler , pourquoi ?
sans doute pour oublier
oublier que notre vie est pleine de malice
mais que nos yeux obéissent
à ses dictatures sans malices
pour que le monde à jamais oublie son identité
et ainsi sa véritable force de penser
Ajouter un commentaire
Nous ne connaissons presque jamais les auteurs de celles que l'on chante chez nous en manouche. On les chante parce que on les entend, parfois même on y rajoute des mots.
Quant a remonter à leur origine...Elles se chantent et on s'en fout !
Bonne soirée.