•  
     
     
     
    The Gypsy (2006)
     
     
     
     
     
    He smiled faintly as her hand brushed his face one last time,
    Her scent still lingered on his skin.
    It had only been one night;
    Yet for that night they had been one,
    Brought together through passion and intensity,
    So much more - yet never quite the same forever after.
    As she walked away, she cast him one last firey look,
    Her olive green eyes undressing him once more,
    Burning themselves into the back of his mind,
    Forever branding him as hers.
    And he knew as she dissapeared over the hills,
    That the woman he longed for more than any other,
    Was the one he'd never see again.
    Never fall in love with a gypsy.
     
     
     
     
     
     

    Author's Comments

    Written late one afternoon as a tribute to my love, who's a gypsy at heart. Anyone who's ever had to be apart from someone they love will know exactly where this comes from...
     
    ~Dark-Lonewolf~   
     
     
     
     
     

    Gipsy girl ( John Lomas)

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

     

    Sandra Jayat    

    JAYAT, Sandra

      

    JAYAT (Lucienne dite Sandra),
    Artiste peintre,
    Ecrivain, poètesse
    Née le 13 mai 1930 à Moulins (Allier) .

    Fille de Jean Jayat et de Mme, née Marthe Ritter.

    Études : Autodidacte.

    Carrière :
    Artiste peintre (depuis 1961) : nombreuses expositions à Paris, notamment :
    -aux galeries Ades (1971-73, 1975, 1977)
    - Castiglione-Vendôme (1978-81),
    - au musée Antoine Bourdelle (1992),
    - à la Maison des sciences de l'Homme (1995),
    - au Carrousel du Louvre et à la Fondation Rothschild (1996),
    - au Forum des Halles (1997),
    - à la galerie Fürstenberg à Paris (2001);

    à l'étranger :
    - en Belgique, à la Kunsgalerij Tolhuis Schelle à Anvers (depuis 1984), à Linéa Ghent au Palais des expositions de Belgique (1986),
    - en Italie; rétrospectives au musée d'Art sacré de Venise (1991), à l'Institut franco-allemand à Aix-la-Chapelle (2001);
    - au musée d'Art moderne de Chine à Pekin (1994),
    - au musée Neprajzi (Hongrie) (1995),
    - à Artexpo et au Jacob Javits Center à New-York (Etats-Unis) (1998);

    participation à divers salons de peinture :
    - le Salon international d'art contemporain d'Anvers (1985)
    - la Biennale des beaux-arts de Paris (1987, 1989);

    nombreuses lithographies éditées; illustrations de livres et de pochettes de disques, décors de télévision (1984),

    - réalisation du timbre-poste les Gens du voyage (1992);
    - Membre de la Société nationale des beaux-arts (depuis 1983) et de la Société des gens de lettres (depuis 1984).

    Œuvres :

    - poèmes : Herbes manouches (1961),
    Lunes nomades (1963),
    Moudravi où va l'amitié (1966),
    Je ne suis pas née pour suivre (poèmes et peintures, 1983),
    la Pastorale des gitans (poème chanté, 1976);
    - contes : Kourako (1972),
    les Deux lunes de Savyo (1972),
    le Roseau d'argent (1973);

    - romans : la Longue route d'une zingarina (1978),
    El romanes (1986),
    les Racines du temps (1998)
    Décorée en tant que Chevalier de la Légion d'honneur.

    Distinction Diverses :
    - Grand prix de la littérature enfantine à Paris (1972),
    - Médaille d'or de la Fondation internationale des écrivains, poètes, peintres et journalistes à Rome (Italie) (1976),
    - Grand prix du livre à Stockholm (Suède) (1978),
    - prix international de peinture Toulouse-Lautrec à Paris (1978),
    - Médaille d'or de l'Institut supérieur international des études humanistes à Rome (1980),
    - Palette d'or à Rome (1989),
    - Médaille de vermeil de la Ville de Paris (1992),
    - Plaque d'or européenne pour les libres sciences à Rome (1993)

    S'intéresse à la danse .
    Sport : marche.

    Coordonnées :
    Prof. : Bernart Wolstraat 24-31, 2000 Antwerpen, Anvers, Anvers, Belgique


    Biographie mise à jour le 19/09/2003 et sur le site le 13/01/2024


    Source : WHO'S WHO IN FRANCE 19/09/2003

     

    * La longue route d'une Zingarina, Bordas, 1993

     

       Stellina, quinze ans, ne peut accepter le mariage arrangé que lui impose la coutume tzigane. Choisissant la liberté, elle quitte sa tribu, un matin à l'aube...

      

    L'oeuvre dans la version Bordas, 1978

      

        " Poésie, éducation à la tolérane et générosité constituent les heureux ingrédients de ce beau roman... un roman somptueux et simple dépourvu d'un gongorisme - affectation du langage - parfois à la mode où le bonheur de l'écriture se conjugue à l'humanisme le plus profond ".
    JEAN-LOUIS BRUN

       " Il y a chez Sandra JAYAT cet accent inimitable qui distingue les poètes de "nature" des poètes "fabriqués"...
    C'est ce qu'il y a d'inexplicable en elle qui en fait un grand poète. "
    PHILIPPE SOUPAULT

    CETTE EXALTATION RESTE VRAISEMBLABLE DANS UN PAROXYSME DE PASSION ET DE REBONDISSEMENTS. Il faut lire ici encore l'épopée du Gitano comme le terme ultime de l'expérience surréaliste portée au point extrême de l'incandescence verbale que revendiquait BRETON.
    JEAN PERROT
    (critique sur l'ouvrage de Sandra Jayat "El Romanes")

    " Si cette Tzigane a posé ses bagages définitivement, elle continue son chemin avec son pinceau pour les arts plastiques ou son stylo pour l'écriture."

    C. GRENTE (Site artactif.com le 28/07/2008)

     

    Il est possible de travailler sur cette oeuvre après l'avoir mis sur papier. Génial !

    Rendez-vous ici :.com/? http://filsduvent.oldiblogpage=articles&rub=251132 (lien caduque au 14 novembre 2017)

     

    **********

     

    Consécration en 1992 pour Sandra Jayat. Elle fait graver un timbre-poste représentant une de ses oeuvres peinte "Les gens du voyage" et ce timbre est plébiscité

    .

     

    JAYAT, Sandra

     

    Tarot manouche universel du XXIe siècle de Sandra Jayat

     

     Sandra Jayat - Les Quatres Saisons: L'hiver - Catawiki

     

     L'oeuvre protéiforme de S. Jayat.: Les Quatre saisons : L'Hiver

     

     

    * Herbes manouches - Poèmes, La Colombe - Éditions du Vieux Colombier, 1961

    Illustré par Pablo Coronado
    Jean Cocteau
    Le Ba Dang
    Antonio Uria Monzon
    Gaston Watkin

      JAYAT, Sandra

    Préface de Jacques B. Cayeux :

      

     

     

    Dédicace à Jacques Lebouc :

    JAYAT, Sandra

     

    Poèmes extraits de l'ouvrage : Django et Mon Gitan

     

     

    JAYAT, Sandra

     

    "Elle crache le feu
    Et avec ses pieds elle l'éteint
    "

    Jean Cocteau

     

    **********

     L'interview à la télévision françase du 1972 par Danièle Gilbert et son poème "Interdit aux nomades" : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i12282118/rencontre-avec-sandra-jayat-la-fille-de-django-reinhardt sur le site de l'INA

     A l'intérieur de son appartement, Sandra JAYAT se présente comme manouche, et dit n'avoir pas connu Django REINHARDT car elle était trop jeune. Elle vient de sortir un disque de poèmes sur des musiques de Django, et récite des extraits d'un poème sur les nomades.

     

     

    Page dernièrement mis à jour le

    13 janvier 2024

     

     

    Liens :

     

    * Une poésie de Sandra, L'oiseau libre, extrait des Herbes Manouches : http://filsduvent.kazeo.com/Sandra-Jayat-l-oiseau-libre-a121151820

     

    * Une interview de Sandra Jayat à la télévision le 19 décembre 1972 ; https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i12282118/rencontre-avec-sandra-jayat-la-fille-de-django-reinhardt

    * Le site officiel de Lé Ba Dang ou Lebadang : http://lebadang.fr/

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    4 commentaires
  •  

     

     

    François Jourda de Vaux de Foletier

    1893-1988

     

     

     

    Le monde des tsiganes, éditions Berger-Levrault, 1983.

    Broché, 20.5x28, 213pp, nombreuses illustrations.

    Au sommaire, entre autres articles : des pays de l'indus au monde occidental, la civilisation du cheval, latcho drom, l'étape et l'habitat, la vie quotidienne, la famille et le mariage, la mort, les attitudes religieuses, ressources et métiers divers,les arts du spectacle, médecine et magie, la bonne aventure, tsiganes et gadgé...

     

    * Mille ans d'histoire des Tsiganes, Fayard, 1970.

    Collection Les Grandes Études Historiques

    Chapitres :

    1) Les origines 2) De l'Inde à l'Europe Byzantine 3) Migration et dispersion des Tsiganes 4) Conflits avec les sédentaires 5) Les tsiganes et les pouvoirs publics 6) Les chefs Tsiganes 7) La religion 8) Dans les armées 9) Musique et danse 10) Bonne aventure, magie, art de guérir 11) Ressources et métiers divers des Tsiganes 12) Moeurs et coutumes 13) Tsiganes et non-Tsiganes 14) Les Tsiganes dans la littérature

     

    * Les Tsiganes dans l'ancienne France, Connaissance du Monde, 1961.

     

     

    * Les Bohémiens en France au XIXe siècle, Lattès, 1981

     

    Bohémiens, Tsiganes, Manouches, Gitans, quel que soit le nom qu'on leur donne, la provenance qu'on leur prête, ils fascinent la population des villes et des villages où ils passent. D'où ces légendes multiples qu'ont suscitées ces gens du voyage, nomades dont l'expérience reste, pour nous sédentaires, un mystère, voire une provocation.

    Grand spécialiste des Tsiganes, François de Vaux de Foletier, vient rétablir ici la vérité sur les Bohémiens tels qu'ils vécurent dans la France du XIXe siècle. Un texte important qui nous permet de poser un regard nouveau sur ces communautés qui ont si souvent inspiré la littérature romantique *.

     

     

      

    François de Vaux de Foletier, un grand bonhomme !

    En hommage au grand homme, un recueil signé Emmanuel Filhol, Benoît Jullien, Vladimir Gabas, Claude Belot (Préface)

     

    Mais pourquoi et depuis quand Foletier s'est-il intéressé aux Tsiganes ? Si vous avez des idées, n'hésitez pas à commenter cette pages. Vous êtes les bienvenus ;o) 

    Et pour initier, j'ai découvert dans un article de Monde et Voyages... Un article de journaliste dans la série "Les capitales" et qui s'intéresse à Sofia, en Bulgarie. Foletier, agé de plus de quarante ans, alors archiviste départemental de la Seine-Inférieure, s'essaye au journalisme international. A lire l'article de 4 pages, dont deux de photographies, on ne peut nier qu'il y soit allé, tellement les descriptions y sont animées. C'est la description d'une ville endormie sur son passé et la vie y est "calme", "propre", presque ennuyeuse nous laisse deviner l'auteur, les gens en majorité "habillés comme vous et moi" : une "grande ville où l'on peut faire d'excellentes saisons de repos".

    C'est dans les derniers paragraphes qu'il est question des Tziganes. Pas dans la ville mais dans les fêtes de villages alentours, la musique et les violons en particulier, nous introduisent... Une description sommaire des habits dans la danse "le horo" et Foletier précise qu'ils retournent vers les faubourgs, du côté de la rue Tatar. Un mariage "svadba" tzigane qui passe : c'est musique, couleur, vivacité. Cela tranche avec la vie de la capitale. Est-ce lors de cette "expédition" à Sofia qu'a eu lieu le déclic ? C'est possible. Déjà une vie derrière lui, passée dans les livres et les archives. Ça peut laisser des regrets et des envies d'ailleurs.

     

    Denis Toulmé, le 22 mai 2019, d'après l'article "Les capitales : Sofia" paru dans Monde et voyages n°126, mars 1936 (pages 131 à 134)

     

     

     

    Page dernièrement mise à jour dernièrement le 15/05/2019

     

     

     Liens :

     

     

    * Exemple de littérature romantique le court texte Une scène de Bohémiens par Auguste BARBIER

     

     

    Autres textes romantiques : Hakkini Bougouri, par Alphonse-Louis LALLY

    * Sofia, une grande ville des Tziganes :

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire