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Les Grinche
The Grunts
Par Philip ARDAGH (texte) et Axel SCHEFFER (illustrations)
Les Grinche sont des ogres atypiques. Ils vivent dans une caravane avec deux ânes et leur fils adoptif, Sunny. Au fil de leur voyage, ils croisent de nombreux personnages loufoques. (description Babelio.com)
Mme et M. Grinche sont des gens un peu "spéciaux" : ils habitent dans une roulotte faite de bric et de broc et tirée par deux ânes nommés Clip et Clop. Pour leur petit déjeuner, ils se délectent de bestioles écrabouillées sur la route, avec une préférence pour les écureuils. Même les vieux pneus sont à leur goût avec du sel et du poivre. le gloubiboulga à base de sciure et de graine pour oiseaux, chez eux, ça se mange aussi. Sympathique restaurant chez les Grinche, n'est-ce pas ? Vraiment, ça fait envie !
Leur fils s'appelle Sunny. Enfin, ce n'est pas tout à fait leur fils puisque M. Grinche l'a ramassé un jour sur une corde à linge. Bien que ce soit un garçon, ils ont décidé de l'habiller avec une robe bleue... [...]Pénétrer dans l'univers des Grinche c'est un peu comme passer de l'autre côté d'un miroir, dans un univers loufoque et hilarant. Au fil des pages, on se demande ce que Philip Ardagh va encore inventer comme élément délirant dans cette aventure (quelle imagination débordante !) [...]
(Maevedefrance sur Babelio en 2014)
La collection compte à ce jour 2 titres :
* Les Grinche ont des ennuis (2014)
* Les Grinche à la dérive (2015)
Cette page a été mise à jour le
23 octobre 2024
Liens :
Ce livre aurait pu figurer dans la rubrique Humour du site des Fils du Vent sans Pays : http://filsduvent.kazeo.com/humour-c-est-chez-les-rroms-manoucheries-etc-c27543230
* Lire le livre Les Grinche ont des ennuis : https://fr.shopping.rakuten.com/offer/shop/13175357155/les-grinche-ont-des-ennuis-par-philip-ardagh-illustre-par-axel-scheffler-traduit-par-marie-hermet-aux-editions-pere-castor-flammarion-the-grunts-in-trouble-isbn-9782081310315-253-pages.html?sellerLogin=caillie&fbbaid=16456320053
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La Mort de Coco ou, La Dernière étape de Coco 1878
Pierre-Marie BEYLE 1838-1902
Huile sur toile
93cm x117,5cm
Après avoir longuement recherché ce tableau d'un certain "Beyle", je vois qu'il y a enfin la référence sur le Net d'un tableau, huile sur toile exécuté en 1878 par Pierre-Marie Beyle 1838-1902.
Ce tableau d'un peintre français du XIXe se trouve en Australie depuis 1880-81, propriété du musée NGV International (National Gallery of Victoria, Melbourne, Australia)
Pierre-Marie Beyle est "connu comme peintre de scènes de la vie quotidienne. Il s'attache aux scènes normandes qu'il peint aux alentours d'Yport lors de ses séjours estivaux." d'après Wikipédia en date du 14 octobre 2024.
Mais, si j'y suis revenu, c'est suite à la découverte dans Petits contes du pays normand aux éditions Paul Duval, 1935, de celui-ci : La Mort de Coco, raconté par un certain A. Lepilleur, qui évidemment m'a mis la puce à l'oreille. C'est que j'avais, voici plusieurs lustres, "trouvé" la Mort de Coco comme illustration d'un certain Duvivier, dessin en noir et blanc dans l'ouvrage Musée des familles - Lectures du soir, Librairie Delagrave, 1878, au Salon d'après Beyle. Ensuite, d'autres copies en couleur de E. Créancier ou Nestor Lizen (absence de référence) s'étaient imposées à moi.
Coco ne pouvait être qu'un animal connu de l'imaginaire collectif. Un cheval faisant partie de la famille...
Il est possible de rapprocher ce tableau de Beyle de celui d'Alexandre Antigna 1817-1878, le "peintre des pauvres", La Halte forcée, 1855
La Halte forcée d'Alexandre Antigna, 1855
Cette page a été mise à jour le
23 octobre 2024
Liens :
* La recherche de Coco était en cours depuis un moment...
* Le lien vers la pages des renseignements pris : https://www.beforefelton.com/beyle-last-resting-place-of-coco-1881-ngv-pa/
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Inlassable défenseur de la cause des Roms
Mugur Varzariu
Depuis 2010, Mugur Varzariu documente le quotidien des Roms en Roumanie. Après des déplacements forcés et la construction d’un mur de ségrégation, il décide de témoigner des injustices subies par les communautés roms qui, encore aujourd’hui, n’ont souvent aucun accès au logement, à l’eau potable et à l’éducation...
" Il y a douze ans, lorsque le début de ce reportage a été projeté au Campo Santo, j’étais loin d’imaginer que mon travail photographique allait permettre, en quelque sorte, de dévier le cours des événements. Comme pour clore une boucle à l’endroit où tout a commencé, ici à Perpignan, je partage cette histoire : elle est la démonstration que la photographie, outre sa puissance narrative, a une valeur de preuve légale et de témoignage, vouée à faire changer les mentalités et, parfois, déclencher une issue positive.
Je réalise alors que les épisodes de discrimination et de déplacements injustifiés et illégaux qui touchent les Roms dans mon pays sont bien plus répandus que je ne pouvais l’imaginer. Je continue mon enquête et, entre 2011 et 2012, je m’intéresse au plan de démantèlement du camp rom de Craica à Baia Mare, au relogement d’une partie de la population dans l’usine chimique de Cuprom, ainsi qu’aux innombrables fausses promesses de dédommagement de Chereches (ancien maire de Baïa Mare).
L’exposition de Mugur Varzariu « Des voix s’élèvent derrière le mur » était visible au Couvent des Minimes de Perpignan jusqu’au 15 septembre 2024 dans le cadre de la 36ème édition du festival Visa pour l’image.
Paroles de Mugur Varzariu :
* Sarkozy et ses 300 euros promis aux Roms pour retourner en Roumanie : "ce dispositif est une violation des droits de l'Homme : personne ne peut vous priver de votre droit à voyager."
* "Les Roms ne font pas l'actualité : tout photographe qui s'y consacre exclusivement prend le risque de la banqueroute"
Vu dans Télérama 3897, page 16 du 18 septembre 2024
Liens :
* Vers les informations du site "Visa pour l'image" : https://www.visapourlimage.com/index.php/festival/expositions
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